Même recette, même succès. Volo revient aux affaires avec Jours heureux, troisième opus du groupe après le premier et le live.
Avec ce premier album, Jean-Charles Versari tourne définitivement et sans complexe la page des Hurleurs, pour une nouvelle aventure tout aussi excitante.
Eparpillé, parfois au mépris de la reprise d'eux-mêmes, les anglais se décomposent progressivement au fur et à mesure que l'album s'intensifie en brutalité.
Un concert alliant douceur et sourires, et une première partie qui a su elle-aussi récolter des salves d'applaudissements.
György Kurtág a trouvé avec Játékok, un moyen d'expérimenter, de travailler à de nouvelles formes comme une sorte de petit atelier de composition en activité permanente.
Coqueluche folk dans l'Hexagone depuis son dernier album, Feist décide de retaper encore plus fort avec The Reminder.
L'album se montre intéressant en tournant ses textes avec des faux airs de joyeuseté délirante.
Les Suprêmes Dindes mouillent la chemise mais le résultat n'atteint pas des sommets musicaux, restant tout de même un moment agréable de détente à se mettre sous la dent.
Souriant, travaillé et extrêmement bien ficelé, un set entièrement satisfaisant... quoiqu'un peu court.