Reprise de poids #21 : Et si on se refaisait une Gainsbourg ?

L'homme à la tête de chou est de retour dans les Reprises de poids. Un article dans lequel on peut retrouver Trio Esperanza, Triste Sire ou encore... les Charlots.

Nous vous avions déjà offert des reprises de poids de Gainsbourg, c'était au numéro 8 et aussi au numéro 15 avec Poupée de cire, poupée de son, le temps passe incroyablement vite. Penchons-nous donc de nouveau sur l’œuvre de l'homme à la tête de chou et les adaptations qu'elle a engendrées.

Débutons d'abord avec Je suis venu te dire que je m'en vais, repris par Stereo Total dans une version à la fois si semblable et si éloignée de l'originale.

Pour le deuxième titre, toujours en duo, on vous emmène faire un tour du côté de New-York avec les Elysian Fields qui rejouent Bonnie and Clyde à leur sauce. Et le résultat est finalement lui aussi plutôt bien foutu.

Très originale est la reprise de Kenzo Saeki accompagné ici par Rue de la Bossa. Oui Le poinçonneur des lilas en japonais, c'est vraiment bizarre.

On pourra aussi noter que le gars en question reprend Couleur café dans un spectacle où il est apparemment affublé d'un gigantesque sushi sur la tête. Oui oui un sushi. Ou un maki si vous préférez.

Du Japon passons, sans plus de transition, au Brésil avec le Trio Esperanza qui rend un bel hommage à La Javanaise dans une version bossa à déguster avec douceur.

De Rio à Paris, il n'y a qu'un pas, même en s'arrêtant un instant au CCO de Lyon avec le groupe Triste Sire qui revisite d'une bien étrange façon Les sucettes. Dispensable ? Oui certainement.

Avant dernier titre avec une reprise de The Bollock Brothers et Harley David (son of a bitch), pas forcément la plus connue des chansons de Gainsbourg.

Certes ce n'est pas tout à fait une reprise, mais nous ne pouvions passer à côté de Sois érotique des Charlots, librement inspirée de Je t'aime moi non plus. Ah les Charlots, s'ils n'avaient pas existé... euh non rien.