Étonnant, Third montre que Portishead n’a rien perdu de sa superbe, bien au contraire, les britanniques nous font comprendre qu’ils ont encore des choses à nous enseigner...
Si l’on suivra cette formation sans trop rechigner en raison d’une certaine personnalité, ce n’est pas pour autant que l’on s’abandonnera au moindre de ses désirs.
On sent à l’écoute de Rook, tout le soin qui a été apporté à son élaboration, un réel amour pour le travail bien fait. Juste superbe !
D’envoûtants paysages sonores, des nappes lunaires, The Notwist réalise un album saisissant de maturité et pourtant au combien riche en émotions.
Plus pop que les précédents, Johannsson revient tout bêtement au format chanson, rappelant à ceux qui l’auraient oublié qu’il est songwriter avant tout !
Death magnetic revient clairement aux sources de Metallica, en ajoutant des éléments des trois derniers, tellement décriés. Une bonne surprise.
Cordes et piano s’acoquinent de petits objets et autres instruments précieux pour donner un peu d’intimité aux grands espaces… entre musique classique et ambiances folk.
Ballades sombres et feutrées, portées par sa voix caractéristique, grave et un brin cassée. Un parfait désenchantement dans un nuancier de gris… à savourer !
Version proposée en compagnie de l’ensemble italien Alter Ego et de l’expérimentateur sonore Philip Jeck dont le travail permet à The Sinking Of The Titanic de prendre une nouvelle dimension.
Collection de chansons folk souvent intimes, en français, et faite en toute simplicité. Un ensemble plutôt agréable mais qui manque, encore un peu, de caractère.
Certains reprocheront à Viva La Vida un manque de prise de risques mais c’est justement cette grande ligne droite qui rend le léger spleen de Chris Martin attachant…
Interview automatique de celui qui s'amuse à mélanger arrangements classiques et mélodies pop pour mieux séduire l'auditeur mélomane...
Une touche de néo-classicisme, des beats soignés, une basse bien ronde, ambiances cinématographiques et univers poétiques, hku signe là une très belle entrée en matière…
Plutôt que de s’enfermer dans le piège des heavenly voices, Caprice propose une séduisante alternative en construisant des ‘comptines pop’, fraîches et un peu bancales...
Tout file droit comme sur une autoroute bien éclairée ; la fantaisie, les surprises ont disparues. Les sursauts ne sauvent en rien ce Vantage Point bien fade...
Arman Méliès sans faire de vagues, mais toujours avec le ton juste, s’impose au fil du temps, comme l’un des artisans de grand talent de la chanson française.
Petites musiques de nuit pour rêveries mélancoliques : sombres, mouvantes et frissonnantes, ces élucubrations séduiront tous les amateurs d'ambiances lunaires et mystérieuses.
Un joyeux merdier synthétique et organique qui traduit une foncière propension à détourner les genres pour en faire quelque chose d’à la fois ludique… et entraînant.
Binocular devrait séduire les nostalgiques de Manes, d’Ulver ou les adeptes d’Arcturus, mais décontenancer, un peu plus, les fans de la première heure.
Pas exempt de défauts, ce concert de Bang Gang constitue pourtant un très agréable moment, qui rend justice et fait redécouvrir d'une autre oreille les superbes albums produits par le groupe.
Interview automatique de ce jeune ensemble néo-classique français dont le premier album sorti à la veille de l'été est un hommage à la nuit sous toutes ses formes...
Ces paysages sonores cinématographiques oppressants créés ont un caractère clairement hypnotique et donnent envie de se tenir bien droit dans ses bottes cirées…
Arditi nous immerge dans un passé aux heures sombres, un passé aux heures noires qui séduira les adeptes des sorties du label suédois Cold Meat Industry
Il est plus que temps de se pencher sur la folk au bon goût d'Amérique de la famille Moriarty.