Debout sur le Zinc de retour dans un cinquième album allant de Charybde en Scylla, tout en réussissant à sauver sa peau.
Le ska, c'est caca. Non pas quand il s'appelle Metisolea'. D'ailleurs ska est sans doute trop réducteur pour ce groupe aux sonorités variées.
Leur métal puise dans les différentes composantes du genre pour en tirer la substantifique moelle et les réunir de manière heureuse dans un opus finalement assez difficile à définir.
Il faut savoir apprécier le synthé qui est omniprésent dans cet opus. Kassios s’amuse et abuse des sonorités même les plus cheap au point d’en devenir rapidement indigeste.
Abrupt, sauvage et sans aucun doute un peu déroutant même pour l’auditeur aguerri. Ce que l’on annonçait peu conventionnel se révèle malheureusement assez peu convaincant.
On pense à Sparklehorse, à Windsor For The Derby, à East River Pipe, de belles références pour passer un agréable moment. Nothing more, nothing less.
Des ambiances mélancoliques presque symphoniques (ce qui est un comble pour un trio) dans des chansons sans paroles, emplies de lumière...
Bomb The Bass revient avec un album apaisé, sublime, mélant parfaitement une pop angélique avec une électronique sourde et crade.
Encore une belle découverte chez Jarring Effects avec ces rejetons de Svinkels et Stupeflip et donc nourris au gros son qui claque.
Deux interviews automatiques, portraits croisés d’un duo sensible qui de fil en aiguille et en ballades tranquilles s’installe dans votre quotidien. Cha côté face.
Deux interviews automatiques, portraits croisés d’un duo sensible qui de fil en aiguille et en ballades tranquilles s’installe dans votre quotidien. Felipe côté pile.
Idem revient avec un nouvel album cathédrale, noyé sous les saturations électroniques et les guitares noisy. Grosse réussite.
&, le dernier album d'Astrïd nous plongent au coeur des rêveries de Cyril Secq et de ses compagnons. Une interview automatique semblait nécessaire...
Pop de chambre se dévoile comme une petite chose charmante, un peu désuète mais à laquelle on accroche toujours. Un EP tasty !
Ballades tranquilles, une voix légère qui sans prétention s’installe dans votre quotidien, intime de fait, quelques notes tranquilles à l’oreille et puis s’en vont…
Echidna propose de lentes évolutions entre la douceur apaisée des instruments acoustiques avec les sonorités parfois dissonantes, insufflées par l’électronique.
Avec ce premier album solo, Manu est effectivement au Rendez-vous, telle quelle est, sans faux-semblants, simplement humaine, avec ses joies, ses doutes, ses peines...
C’est une profonde liberté qui semble guider ces deux hommes qui cherchent avant tout le plaisir dans ces badinages artistiques. Trouver une humanité dans les sonorités, les atmosphères.
Entre gigue joyeuse et nostalgie mélancolique, cette expédition est un vrai bonheur pour les oreilles.
Aucan multiplie les accidents noise énergiques, les sons étranges, etc. avec une exigence qui fait de ce trio un ensemble détonnant !
Des compositions cinématographiques, imaginaires, où David Lynch croise quelques superproductions hollywoodiennes des années 1960, le tout saupoudré d’expressionnisme allemand.
Si Audrey manque encore un peu de ce petit truc en plus, personnel, il n’en demeure pas moins que ces onze titres permettent de passer un moment fort agréable…