Poor Boy brouille les pistes avec un songwriting subtil qui refuse les catalogages et nous fait déjà souhaiter la suite !
Les ambiances, riches et mélancoliques, s’y écoulent en douceur, prenant le temps de parler à nos sens en plein trouble. Des émotions à fleurs de peau...
Le trip-hop homogène de Io’n reste souvent trop respectueux du genre pour ne pas perdre l’auditeur en cours de route...
On ne pas vraiment dire que Dark Princesse rivalise avec les figures emblématiques du genre se laissant attirer par les lumières de la pop FM à s’en griller les ailes...
le Fil et Paroles et Musiques nous auront donc proposé une soirée sympathique à la bonne humeur communicative.
N'ayons pas peur des mots, pomaïe Klokochazia balek est un album génial, tutoyant les étoiles et caressant les âmes musicales. Une transe chamanique en Klokochazia.
Artefacts ravira les amateurs d'electro-rock peu avares en montées et explosions extatiques. Du tout bon !
Du rock new-yorkais sur lequel il faut se précipiter. Retour en force d'un groupe qui ne demande qu'à prêter une oreilles attentive.
C'est l'histoire d'un tout petit disque porté par un interprète de talent nommé Mathieu Vermeulen. En l'espace de douze titres, le voici qui nous embarque aux quatre coins du monde dans des contes tout en finesse.
Kaly Live Dub en interview. L'occasion de parler Dub, improvisations, Truffaz, films HK et rythmiques vrillées.
Kaly Live dub enflamme le dub français, pour en tirer ce que l'on pourrait y trouver de mieux, et accouche d'un album indispensable.
Des compositions aux lentes évolutions, sorte de doom psyché dont le minimalisme répétitif n’est pas sans évoquer les œuvres du compositeur contemporain américain Steve Reich.
Album de la scène alternative avec un lot impressionnant de genres exploités, c'est le nouveau Sporto Kantès. Comment ça ? Vous ne connaissiez pas ?
Les morceaux alternent alors entre virilité dramatique et des instants plus atmosphériques voire romantiques. Le mal exprimé est alors une véritable machine de guerre...
Simple, chaleureux, un peu nostalgique, le songwriting folk de H-Burns est intime et chargé d’émotions, offrant alors à nos oreilles un album précieux.
Si on ne s’étonnera pas de la puissance des guitares aux frontières du death et du black metal, c’est avant tout l’orchestration qui impressionne. Septicflesh réalise son album le plus noir et le plus lumineux
Des ténèbres émergent les lamentations d’un monde en ruines, les sons d’une vie industrielle effacée, engloutie, qui se tordent, se déforment au gré des manipulations sonores…
Passant d’une folk foisonnante à une pop savante et savoureuse, le jeune américain malgré ses tenues extravagantes tourne les têtes dans une orgie musicale...
A la fois plus homogène musicalement, et plus inégal qualitativement que son prédécesseur, Deux, trois trucs contient tout de même son lot de petites pépites qu'on ne se lassera pas de si tôt d'écouter en boucle.
CHRONIQUE EXPRESS. Du rétro, du nouveau, du Vincent vincent and the Villains. C'est simple, non ?