Il est plus que temps de se pencher sur la folk au bon goût d'Amérique de la famille Moriarty.
Brain Kitchen est un disque radical, étouffé par des rythmiques grouillantes et des synthés ultra-massifs. Indispensable.
Magistralement inquiétant, ce dernier opus Arditi atteint une intensité à laquelle il est très difficile de résister, une vision envoûtante de l’héroïsme, fascination guerrière et malsaine...
No, Virginia... est le troisième album studio des Dresden Dolls et un album qui demande du temps à l'auditeur avant de se dévoiler.
Interview automatique de Alex Muller Ramirez, guitare, synthés et l'une des têtes pensantes d'Equus, groupe suisse qui a réalisé sans doute l'un des albums les plus excitants de ce début d'année !
Philippe Jaroussky en mettant en avant la carrière de Carestini souligne un peu plus la qualité instrumentale de sa voix : couleurs chaudes, sensuelles, une pureté et une grande clarté de diction...
Rockferry nous plonge au cœur des années 1960 et 1970, du rhythm’n’blues quand celui-ci portait encore fièrement toutes ses lettres, une réelle noblesse. La soul...
Chargée d’émotion, sa voix un brin éraillée dévoile ce plaisir retrouvé de la composition. Un rock charnel qui pourrait être le côté obscur, pour ne pas dire grunge, de Neil Young.
En digne héritier d’Alain Souchon, Albin manie la langue française avec délectation et un brin de fantaisie qui donne à chaque écoute, toujours un peu plus le sourire.
Doberman Crew et My uncle the wolf ouvrent le concert d'adieu de Ministry. Un concert d'une puissance rarement vue avec un Al Jourgensen visiblement exténué.
Calmes mélopées en hébreu, en anglais, dont se dégagent une force incroyable. Un univers riche, sombre, haletant qui n’est pourtant jamais dénué d’humour… noir évidemment.
Une pop raffinée, précieusement arrangée par une section cordes et un cor envoûtant qui montrent les bonnes dispositions du jeune homme pour une écriture subtile.
Du gros rouge qui tache et des montres en or qui flashent sur des délires trashs : le Dirty Centre se lâche et c'est la totale éclatche !
Un album instrumental d'un ex Cheval de Frise, aussi difficile à attraper qu'un papillon voletant au dessus d'une flaque.
2008. Le groupe sort son 8ème album, Rise and Fall, Rage and Grace, l'occasion idéale de revenir sur près de vingt ans de punk, branché sur l'alternatif.
Troisième album qui fait figure de tournant dans la carrière de cette chanteuse danoise, qui s'est prêtée bien volontiers au jeu de notre interview automatique.
Lise Westzynthius dévoile la richesse de son écriture proposant une jolie collection de chansons où celle-ci multiplie les atmosphères, quitte à s'y perdre un peu...
On se laisse pénétrer par ces mélodies lancinantes qui ne sont pas sans évoquer Julie Cruise dans le Twin Peaks de David Lynch ou certains albums de Stina Nordenstam.
Premier opus en forme de caresse qui après un premier titre… en français, dévoile en anglais et une pointe d’accent nordique, de tendres ballades. Très attachant.