Turzi nous balance avec brio un deuxième album baladé loin des chemins battus, entre une électro-rock burnée et un krautrock bienvenu.
Dubstep écrasant, hip-hop rageur, Ben Sharpa secoue les genres dans un album aride, mais regorgeant de titres imparables.
Cet opus -deuxième avec le label rock At(h)ome- joue la continuité avec Une Somme de Détails. On reconnaît facilement le groupe au gré de ses compos taillées pour la scène, servies par des lyrics travaillées.
Le monde de Nevchehirlian n'est ni nouveau, ni ancien : il est. Une voix au bord de la chute seulement soutenue par une légion de musiciens doués.
Troisième album et troisième étoile pour Siméo qui franchit la porte avec souplesse et légèreté. Le voilà presque au Panthéon de l'amour estival.
Onze allumettes rock enflammées issues droit des contes britpop qui nous bercent depuis des décennies. Attention aux oreilles, ça brûle !
Dionysos mange une double galette de musique et si la première est un délice, la deuxième a un arrière-goût moins agréable.
Loin de se limiter au dub, Pawn shop explore un univers musical où le post-rock se mêle à l'electro ou au trip-hop.
Un piano, une voix, quelques instruments supplémentaires, il n'en faut pas plus pour charmer un auditeur ravi...
Didier Super de retour dans un concept de reprises étonnantes. Ou comment flinguer des chansons à coup d'énergie délirante et de chant... hum... criard ?!
Antipop Consortium revient avec un grand album, parfait équilibre entre expérimentations escarpées et morceaux imparables.
Revendiquant des influences aussi diverses qu'Aallyah, Ginuwine ou Cocorosie, ce premier album de The XX se révèle rapidement addictif !
360° flirte en qualité avec les indispensables Ideal Crash de dEUS ou le récent Plan Your Escape des Girls in Hawaii... pas besoin d'en dire d'avantag.
Interview de Jérémie des Flying Donuts pour la sortie de Until the morning comes, troisième opus du groupe.
Ces mignardises, entre écriture intelligente et improvisation spontanée, se dégustent en toute simplicité.
The Secrets of Me alterne les ambiances riches faisant de ce premier essai, un album des plus recommandables dont le principal défaut reste sa durée...
Cathala dessine en compagnie de ses camarades des constructions attrayantes, saupoudrées de thèmes souvent surprenant qui jouent sur les asymétries.
Soixante minutes d'agressions intenses créées par les machines décadentes du Suédois qui happent l'auditeur dans un univers qui rend sale et honteux.
Caracol qui pour son premier essai en solitaire se dévoile dans un album personnel, intime et mature, mais que l'on sent encore parfois un peu hésitant dans certains choix... Une transition en douceur... un joli plaisir.
Un premier album éponyme attachant, entre folk et chanson française, qui affirme une grande maturité tout en affichant paradoxalement une naïveté enfantine.
Metallica aux Arènes de Nîmes : un concert événement. Le public chauffé à blanc réchauffe les vieilles pierres (et je ne parle pas des Four Horsemen)