De la confiture de perles en ouverture de cette actualité spéciale sorties de la semaine. Hé oui les ptits gars de Seattle (non pas Nirvana, non pas Soundgarden, Pearl Jam) sortent un live de derrière les fagôts. Autour d'eux gravitent quelques plus ou moins gros groupes de Melissmell à Mademoiselle K, de My little cheap dictaphone à Anna Calvi. Laissez-vous tenter.
Un premier numéro de Reprise de poids qui se déhanche du côté de l'Ancienne Égypte et qui hurle avec ces fameux sirènes qui chantent encore la même mélodie ohoho.
Un 4 titres, poussé notamment par un splendide Forgotten child, qui promet beaucoup pour la suite de la carrière de Lou Lesage.
Bonne année 2011 !
All your ships are white est à savourer, plus qu'à écouter, les yeux fermés pour pouvoir s'imprégner des différents sentiments qu'il véhicule, pour pouvoir s'évader et s'envoler avec la musique jusqu'à saisir l'insaisissable, jusqu'à toucher la grâce.
L'année reprend tout en douceur avec les albums de Claire Keim, Juliette, Cake et Wire. Côté single, par contre, c'est plutôt du lourd, du très lourd entre Johnny Hallyday, Britney Spears et la rencontre entre Kanye West et Jay-Z.
Fortes d'une popularité toujours grandissante et d'une tournée couronnée de succès, les quatre demoiselles en uniforme reviennent pour affirmer leur position de référence du pop-rock féminin nippon.
Les compositions pop et florales de Mondrian entraînent l'auditeur le long de frais sentiers guillerets. Assurément un groupe sur lequel il faudra compter.
Les Nuits blanches de Clara Morgane seront sans doute de grands moments sur les dancefloors. Ce n'est pas de la grande musique mais ça reste efficace.
Les Tit' Nassels écument la scène française depuis de nombreuses années et nous livrent avec Même pas mal, un huitième album. Franchement pas mal.
Premier EP d'une formation française qui pêche ses inspirations de chaque côté de l'Atlantique, pour offrir un mélange frais et savoureux.
Kilø lâche les chiens et en profite pour te mettre un grand high-kick dans ta face. Un bon coup de pied dans la fourmillière de la musique en France.
Malgré une pochette assez hideuse, Juliette Lewis tient fermement le taureau du rock par les cornes et redécouvre une terre musicale pas si inconnue que cela.
Un album explosif comme une bière qu'on aurait secoué trop près d'une enceinte. Et si finalement faire des mélanges ne se terminait pas forcément dans la cuvette des toilettes ?